Le développement durable est un engagement historique de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), notamment, depuis le Sommet de la Terre en 1992, en passant par Johannesburg en 2002 à celui de Rio+20 en 2012, sans compter l’accompagnement continu qu’elle apporte à ses membres dans les grandes négociations sur les Conventions (Biodiversité, Climat et Désertification).
Une ambition affichée qui présente une occasion unique pour les pays francophones, celle de jeter les bases d’une croissance économique durable et porteuse d’inclusion sociale en construisant un nouveau modèle de développement, celui de l’économie verte, efficace tout en respectant les grands équilibres naturels et sociaux.
Le FIJEV a été organisé pour la première fois en 2012 puis, une deuxième fois, en 2014, par le gouvernement du Niger avec l’appui de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et de nombreux partenaires, notamment la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la Francophonie (CONFEJES) et le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA), une institution internationale conjointe des Etats du Groupe ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique) et de l’Union européenne (UE). Le Bureau international du Travail et le Programme des Nations Unies pour le Développement avaient également contribué au forum en apportant leur expertise.
L’ADN du FIJEV est à la fois ambitieux sur les prises de position politique et géostratégique et à la fois, très pragmatique dans son approche directe et immédiate auprès des jeunes francophones.
Il se fonde sur plusieurs fondamentaux :
Le FIJEV s’adresse aux jeunes francophones, femmes et hommes, âgés de 18 à 34 ans. Les jeunes sont choisis en fonction de la pertinence, du réalisme et de la faisabilité de leurs projets selon le contexte de leurs pays et de la qualité de rédaction de leurs projets. Ces jeunes doivent, en outre, répondre aux critères suivants :